Rave post-constructiviste, hi-nrg lovecore, cakebeat, fabba. Angel D’lite vient d’un univers alternatif où le soleil UV cède la place à des cieux nocturnes en néon et où les genres s’enchaînent de façon lysergique et inkaléidoscopique avec des distorsions temporelles. Formée dans le réseau des fêtes underground de Londres, elle est passée en peu de temps d’une danseuse de trance omniprésente à l’avant-garde d’une résistance queer internationale contre la monoculture de la musique électronique. Avec son propre système de guidage interne alimenté par le tiramisu, le costume de coquillage statique et les girations des hanches de Jimmy Somerville, elle joue avec son cœur pour vos pieds – qu’il s’agisse de lâcher de la rave breakbeat coquine, de la house downtempo sexy ou de bons breaks disco discutables que vous détestez aimer. Ses sorties sur Radiant Records, Ritual Poison, Planet Euphorique et bien d’autres encore à venir, ont mêlé la sensualité féminine à l’euphorie rave brute. Ces deux dernières années ont été marquées par des moments emblématiques, euphoriques et ridicules sur les pistes de danse dans des clubs et des soirées mignonnes et sexy à travers l’Europe, tels que Panorama bar, De school, Spielraum, Draaimolen, Adonis, Big Dyke Energy, et son label londonien commun avec Eris Drew – Temple ofdreams.