Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience utilisateur et vous permet de contrôler ce que vous souhaitez activer.
Aperçu
Ce site web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site. Parmi ces cookies, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour le fonctionnement des fonctionnalités de base du site web. Nous utilisons également des cookies de tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de refuser ces cookies. Toutefois, la désactivation de certains de ces cookies peut avoir un effet sur votre expérience de navigation.
Vous trouverez plus d'informations sur les cookies que nous utilisons sur notre page Conditions générales.
Toujours activé
Les cookies définis dans cette catégorie sont absolument indispensables au fonctionnement du site web. Ils sont donc chargés par défaut, indépendamment du consentement de l'utilisateur.
Désactivé
Les cookies analytiques nous aident à comprendre comment nos visiteurs interagissent avec le site web. Ils nous aident à comprendre le nombre de visiteurs, leur provenance et les pages sur lesquelles ils naviguent. Les cookies collectent ces données et sont signalés de manière anonyme.
En 2010, un invité de marque s’était glissé incognito en coulisses pour assister au premier show de la géniale Janelle Monáe à Montreux: un certain… Prince! Devenu le mentor de la chanteuse d’Atlanta, il a travaillé sur les prémices de ce qui deviendra Dirty Computer, album-manifeste pour une Amérique inclusive, délicieusement funk, forcément excentrique et complètement pop. Depuis, Janelle Monáe a enchaîné les rôles remarqués au cinéma (Moonlight, Hidden Figures, Glass Onion…) et a fait son grand retour sur disque l’année dernière avec The Age of Pleasure. Sur fonds de dub et d’afrobeat, cette ode à l’hédonisme et à la liberté sexuelle a reçu deux nominations aux Grammy Awards. Cet été, Janelle se produira pour la quatrième fois à Montreux, cinq ans après une jam session nocturne de légende avec Lizzo.
Après avoir lancé sa collection de guitares électriques, le Montreux Jazz Festival dévoile son tout premier modèle électro-acoustique. Floquée du logo officiel du Festival, la MIAMI est baptisée ainsi en l’honneur de la dernière ville en date à avoir accueilli une édition internationale du MJF.
Le saviez-vous? Le lettrage à la main “Montreux Jazz Festival”, typique de Jean Tinguely – créateur de l’affiche de 1982 – sera légèrement retravaillé par Pierre Keller pour devenir l’iconique nouveau logo du Festival.